A deux pas de la frontière belge, dans le département du Nord,
Valenciennes est une ville réputée pour sa culture et sa créativité.
Ce qui lui a valu le surnom d' »Athènes du Nord ».
Pendant des centaines d’années, cet endroit relativement petit a produit des peintres, des sculpteurs.
Et des architectes qui ont contribué à façonner la culture française pour toujours.
Vous pouvez admirer les œuvres de personnages tels que Carpeaux et Watteau au musée des beaux-arts de Valenciennes.
Et voir de précieux manuscrits français anciens sur rendez-vous à la Bibliothèque municipale.
Valenciennes s’est trouvée sur le chemin des deux guerres mondiales.
Mais a restauré ses monuments et vient de réaménager son centre avec un centre commercial à la mode.
Découvrons les meilleures choses à faire à Valenciennes :
1. Musée des Beaux-Arts
Dans une ville qui s’enorgueillit depuis longtemps de sa culture, le musée des beaux-arts de Valenciennes est un régal.
Ouvert en 1801, il présente les œuvres de l’Académie de peinture.
Et de sculpture et est aujourd’hui chargé d’œuvres de maîtres français, flamands et néerlandais.
Tout le monde connaît Peter Paul Rubens, qui est accompagné d’une foule de noms familiers comme:
- Bosch, van Dyck, Jacob Jordaens, Sébastien Bourdon et Camille Pissarro.
La plus grande contribution de Valenciennes au monde de l’art a été celle d’Antoine Watteau, né ici en 1684 et l’un des premiers à peindre dans le style rococo.
Son œuvre, La Vraie Gaieté, est exposée au musée.
2. Fosse Dutemple
Valenciennes, comme une grande partie de la région du Nord Est.
Se trouve au-dessus de riches filons de charbon qui ont été exploités pour la première fois au XVIIIe siècle.
L’industrie était en déclin au 20e siècle et presque tous les signes en sont aujourd’hui disparus.
Mais si vous vous intéressez à ce chapitre du passé de la ville.
Il y a des dizaines de sites à visiter avec des indices sur ce qui s’est passé ici pendant deux siècles.
Le meilleur d’entre eux est Fosse Dutemple, un site de l’UNESCO pour son colossal chevalement en béton armé, qui a été placé au-dessus du puits juste après la première guerre mondiale.
3. Watteau Monument
Près de l’église Saint-Géry, dans la rue de Paris.
Se trouve un petit jardin raffiné autour d’une fontaine avec une statue digne d’Antoine Watteau.
Il est représenté ici, pinceau et palette à la main, sur un socle décoratif avec des muses et des parchemins.
La statue est du XIXe siècle et a été réalisée par Jean-Baptiste Carpeaux, un autre artiste de Valenciennes.
Carpeaux s’est fait connaître dans les années 1850, lorsqu’il a reçu une série de commandes de Napoléon III.
Ici aussi, vous êtes à deux pas de la maison natale de Watteau, au 39 rue de Paris.
4. Place d’Armes
En plein centre de Valenciennes, la Place d’Armes est une grande place.
Et le fondement de la vie politique et commerciale de la ville.
L’hôtel de ville saisissant retient immédiatement l’attention.
Cette façade ornée a été façonnée en 1867 par Henri Lemaire.
Un autre fils de Valenciennes qui a fait des vagues dans le monde de l’art.
Il a entre autres réalisé la façade de la Gare du Nord à Paris.
En grattant le ciel à l’extrémité nord, on trouve Litanie, une aiguille métallique de 45 mètres de long à l’emplacement du beffroi de Valenciennes, qui s’est effondré en 1840.
De près, vous remarquerez d’innombrables phrases découpées dans le métal ; elles ont été écrites par des citoyens de Valenciennes et sont accompagnées d’enregistrements de leur voix par un orateur.
5. Église Saint-Géry
La plus ancienne église de la ville a été construite dans la première moitié du 12ème siècle pour l’ordre franciscain et est classée Monument historique français.
Quelques modifications ont été apportées au bâtiment dans les années 1800, lorsque le clocher a été ajouté.
Mais l’intérieur de la nef est proche de ce qu’il était à l’origine de l’église :
Regardez de plus près les 12 colonnes faites de pierre bleue et surmontées de chapiteaux qui représentent chacun des apôtres.
L’église a subi de lourds dommages pendant la Seconde Guerre mondiale.
Mais elle a été restaurée pierre pour pierre dans les décennies qui ont suivi.
6. Maison Espagnole
Pendant un certain temps, entre les XVIe et XVIIe siècles, Valenciennes a été sous le joug des Pays-Bas espagnols.
C’est à cette époque que fut construite la belle Maison Espagnole à colombages.
Le bâtiment, avec ses gracieux encorbellements et ses fenêtres plombées.
Se trouvait à l’angle de la rue de Mons et de la rue des Capucins, mais il a été soigneusement démantelé et reconstruit ici, rue Askièvre, en 1964, lors de la réorientation des rues de la ville.
Vous pouvez vous y rendre pour voir les intérieurs car il accueille désormais l’office de tourisme de Valenciennes.
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7. Basilique Saint-Cordon
Cette église est en cours de restauration depuis quelques années, mais c’est toujours une bonne idée de venir admirer l’extérieur.
Elle a été érigée dans les années 1850 par un certain Alexandre Grigny, qui a travaillé sur une multitude de bâtiments dans la région du Nord, ainsi que sur la basilique de la Note-Dame à Genève.
L’édifice est un remarquable exemple d’architecture néo-gothique, avec une tour imposante et des pierres inspirées des cathédrales médiévales les plus vénérées du Nord de la France, à Chartres et à Amiens.
8. Centre Place d’Armes
Récemment, Valenciennes a beaucoup fait pour embellir le centre ville.
Faisant écho à des projets similaires au cœur d’autres villes françaises depuis une dizaine d’années.
Le plus gros travail a été le Centre Place d’Armes, un centre commercial élégant avec tous les grands magasins classiques comme H&M, Zara, Sephora et la fnac.
Le centre commercial se trouve sur la place principale de Valenciennes, donc si c’est un jour de pluie ou si vous avez envie d’un après-midi de shopping, vous pouvez facilement passer quelques heures ici.
9. Bibliothèque Municipale
Pas de bibliothèque ordinaire, la Bibliothèque Municipale de Valenciennes se trouve dans l’ancien Collège de la Compagnie de Jésus, qui a été fondé au XVIe siècle.
L’architecture baroque imposante date du 17ème siècle, mais les choses deviennent encore plus passionnantes à l’intérieur.
Si vous êtes curieux, vous pouvez vous rendre à la bibliothèque des Jésuites, qui a été conservée telle quelle lors de sa fondation au XVIIIe siècle.
Parmi les 350 000 manuscrits et volumes, il y a quelque chose de très particulier : La Séquence de Sainte Eulalie, qui date de 880 et qui est la plus ancienne hagiographie écrite en français.
10. La Maison Du Prévôt
Un autre vestige rare du passé lointain de Valenciennes est la maison de la prévôté, qui est également inscrite aux Monuments historiques français.
C’est un charmant manoir en briques avec des pierres d’angle en calcaire, des fenêtres à meneaux et une tourelle avec une flèche.
La maison remonte à 1485 et a été construite pour l’abbé de Hasnon, qui détenait le titre de prévôt de l’église Notre-Dame.
Cette église se trouvait de l’autre côté de la route, mais elle a été détruite à la Révolution, laissant la maison de la prévôté échouée comme un mystérieux fragment de l’histoire médiévale de Valenciennes.
11. Saint-Amand-les-Eaux
Il ne faut pas plus de 15 minutes pour atteindre cette sensationnelle vieille ville thermale cachée dans la forêt du parc régional de Scarpe-Escaut.
La tour abbatiale titanesque de la ville, qui est tout ce qui reste d’un ancien monastère, est incontournable dans tous les sens du terme.
Prenez du recul et admirez les 82 mètres de ce monument, qui a pris forme dans les années 1630 et est orné de délicates décorations.
Puis entrez, car le musée abrite plus de 300 pièces de faïence fine produites par les faïenceries du XVIIIe siècle de la ville, dont la réputation n’est plus à faire.
12. Scarpe-Escaut Regional Park
Le parc qui entoure Saint-Amand-les-Eaux est le plus ancien des 48 parcs régionaux de France, mais il est important pour une autre raison :
À la frontière belge, il s’unit au vaste parc naturel des Plaines de l’Escaut pour créer une région homogène de paysages intacts que l’on peut parcourir pendant des jours dans une mosaïque de vergers, de ruisseaux bordés de saules, de vieilles forêts denses et de zones humides.
À certains endroits, on trouve des traces de mines centenaires qui sont lentement revenues à la nature.
Comme Fosse Dutemple, beaucoup d’entre elles ont été inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO.
13. Cambrai
Sur l’autoroute A2, la ville de Cambrai se trouve à une demi-heure de Valenciennes et mérite amplement ce court trajet.
Même si vous ne connaissez pas encore la ville, vous connaissez peut-être son nom, car une bataille décisive de la Première Guerre mondiale s’y est déroulée en 1917, et c’était la première fois que des chars d’assaut étaient utilisés dans un conflit.
Mais le Cambrai moderne a un caractère cultivé et haut de gamme, avec une splendide cathédrale baroque, un beffroi classé à l’UNESCO et un musée des beaux-arts de premier ordre.
Celui-ci se trouve dans un hôtel particulier du XVIIIe siècle et est réputé pour ses sculptures, avec deux pièces de Rodin et une autre de Jean-Baptiste Carpeaux.
14. Matisse Museum – Le Cateau-Cambrésis
À peu près à la même distance au sud, le long de routes de campagne à travers des terres agricoles ouvertes, se trouve la ville où Henri Matisse est né.
L’artiste lui-même y a fondé le musée en 1952, peu avant sa mort.
Si vous êtes un fan de son travail, vous ne devriez pas hésiter à faire le voyage car le musée possède la troisième plus grande collection de ses œuvres en France.
Elle compte 170 pièces, couvrant le cours de sa carrière de l’aube du XXe siècle aux années 1950.
Son contemporain, le cubiste Auguste Herbin, est également bien représenté, ayant fait don de 65 de ses tableaux en 1956.
15. Gourmandises locales
Dans un restaurant de Valenciennes, il faut être courageux et essayer les exportations culinaires les plus célèbres de la ville :
La lucullus est une langue de bœuf fumée, mijotée dans un bouillon puis recouverte de foie gras.
Elle est généralement servie sur du pain grillé et est proposée en entrée.
La goyère au maroilles, un soufflé luxueux et moelleux garni de fromage de maroilles local, convient mieux aux jeunes palais.
La Brasserie des Sources de Saint-Amand-les-Eaux utilise l’eau de source de la ville pour la fabrication d’une variété de bières allant de la pils Germinal au lambic Abbiatale de Saint-Amand.
16. Les maisons scaldiennes de Valenciennes
La ville de Valenciennes conserve un groupe très original de maisons à pans de bois limité aux grandes villes du bassin de l’Escaut d’où son nom à «Escaut»).
La ville de Valenciennes abrite un ensemble très original de maisons à colombages du genre que l’on ne trouve que dans les grandes villes du bassin de l’Escaut d’où elles tirent leur nom (Scaldienne étant l’adjectif correspondant au mot Escaut, le mot français pour l’Escaut).
Assurez-vous de venir découvrir cette architecture traditionnelle lors de votre visite.
Cette ville compte à elle seule les trois des sept dernières maisons de ce type que l’on trouve le long de l’Escaut de Cambrai à Anvers!
Construites à partir de 1279, ces maisons pourraient accueillir des métiers à lin et pourraient être agrandies vers le haut en ajoutant des étages supplémentaires.
Sur la façade, deux niveaux de construction en encorbellement permettaient au bâtiment de surplomber la rue, offrant un meilleur accès à la lumière et un gain d’espace supplémentaire en empiétant sur la rue.
17. Coron des 120 – VALENCIENNES
Ce logement est d’une modernité audacieuse pour son époque.
Il est proposé à l’exposition Universelle de 1867 alors axée sur l’économie sociale par la Compagnie des Mines d’Anzin et obtient une médaille d’argent.
Ce coron est comme un trait tiré de plus de deux cent cinquante mètres de long entre Anzin et Valenciennes.
Il regroupe cent vingt maisons en six barreaux alignés.
Chaque barreau est composé de vingt logements construits dos-à-dos.
De part et d’autre du coron, on accédait aux maisons par une « voyette » qui distribuait les jardins, les clapiers, les puits et les cabines d’aisances.
L’ensemble de l’opération est en briques.
18. Basilique Notre Dame du St Cordon
La basilique de Notre-Dame du Saint-Cordon à Valenciennes.
Édifiée entre 1852 et 1865, l’église est construite dans le style néo-gothique.
D’une hauteur de 82 m, sa tour abrite la cloche municipale dite Jeanne de Flandre, qui sonnait autrefois dans le beffroi de la ville.
Centre de pèlerinage grâce au miracle de 1008, elle a été promue au rang de basilique mineure en 1922.
Selon la légende, la vierge ou un ange entoura la ville d’un cordon, la protégeant de l’épidémie de peste qui sévissait dans le pays et sauvant la population d’une mort certaine.
Mille ans plus tard, les Valenciennois y effectuent encore un pèlerinage chaque deuxième dimanche de septembre, sur une distance de 14 km autour de la ville, au départ de la place du Canada.
19. Hôpital Général
Hôpital général de Valenciennes (XVIII.)
Ce bâtiment classique est construit sur ordre de Louis XV d’après un projet de l’architecte Contant d’Ivry, pour accueillir les pauvres du Hainaut.
C’est l’un des bâtiments civils les plus remarquables du XVIIIe siècle à Valenciennes.
L’édifice, de forme quadrilatérale, avec ses deux étages et sa haute toiture, donne sur une grande cour en partie pavée.
D’une grande sobriété, il combine harmonieusement briques rouges et pierres saillantes, comme il est d’usage dans la région.
20. Cimetière St Roch
Inauguré le 26 août 1792 sur l’initiative du maire de l’époque Jean-Claude PERDRY ; le cimetière Saint-Roch, situé hors des murs de la Ville, est le premier cimetière commun de Valenciennes.
Le cimetière Saint-Roch de Valenciennes est le lieu de repos éternel des hommes et des femmes qui ont fait la renommée de Valenciennes et de ses habitants.
Découvrez ses monuments qui sont de beaux exemples d’art funéraire avec les tombes d’artistes tels que
- Abel de Pujol,
- Hernest Hiolle,
- Jean-Baptiste Carpeaux, etc.
Laissez-vous guider dans ce théâtre éternel où chaque tombe a sa propre histoire à raconter.
21. Château d’Aubry du Hainaut
Située dans le parc naturel régional Scarpe Escaut, à trois minutes de Valenciennes, la vaste demeure seigneuriale du XVI° siècle et son parc ont été transformés en Hostellerie haut de gamme paisible…
cette immense demeure seigneuriale du XVIe siècle et son parc ont été transformés en un paisible hôtel haut de gamme.
Tout commence au XVIe siècle : entre 1500 et 1520, le seigneur d’Aubry-du-Hainaut (Jean de Thiant) remplace le château médiéval par un château de style Renaissance.
Plusieurs familles aristocratiques du Hainaut y ont ensuite vécu, dont celle du Marquis de Saluces de Bernemicourt, et celle du Comte Van der Burch au 18ème siècle.
Après la mort du comte en 1846, le château fut acheté par un industriel, M. Dubois, qui le restaura avec son parc (le magnifique parc à l’anglaise aux arbres séculaires) en combinant le style romantique de l’époque avec l’architecture Renaissance.
Côté rue, on retrouve la façade flamande (Renaissance flamande espagnole,) réalisée en brique avec de petites fenêtres à meneaux, et sa tour, semblable à celles du Palais Rihour de Lille.
Du côté du parc, le château présente un style XVIIIe siècle assez différent et plus féminin.
Telle une île, le bâtiment est entouré des douves du précédent château médiéval. Il abrite également de nombreux secrets qui attendent d’être découverts au cours de votre promenade dans le château.
Dans la cour du château, qui était autrefois la place du village, on trouve le pilori, avec une tête de lion au centre.
C’est ici que le seigneur punissait les criminels en public.
22. Parc de la Citadelle
L’Écluse des Repenties et le Parc de la Citadelle à Valenciennes (XVIII.)
Un vaste parc permet de découvrir les vestiges de l’Ecluse des Repenties, le pont de la Citadelle restauré, les bastions des Repenties et du Calvaire.
L’écluse était la pièce maîtresse du système défensif de Valenciennes.
Grâce à elle, comme mesure défensive, la ville pouvait inonder la plaine qui s’approchait, empêchant toute invasion de ce côté de la ville qui manquait de défenses naturelles.
Son nom vient de la présence d’un couvent de religieuses pénitentes, connu sous le nom de La Madeleine.
23. Chevalement Ledoux
A l’extérieur des murs de la ville fortifiée de Condé-sur-l’Escaut, l’industrie minière a produit des sites patrimoniaux remarquables.
Avec le clocher de l’église, le chevalement de la mine Ledoux est le monument le plus visible du quartier.
Cette structure particulière témoigne de l’histoire industrielle de la ville et illustre la modernisation des mines de charbon qui a eu lieu dans les années 1950.
A l’origine, deux chevalements identiques à double roue permettaient l’accès à la mine.
La mine Ledoux a fermé en 1988 et lors du démantèlement du site, l’un de ses chevalements a été conservé pour la postérité et classé monument historique en 1992.
24. Pompe à feu du Sarteau – FRESNES SUR ESCAUT
La zone dans laquelle se trouve la fosse Sarteau fut la première à être exploitée dans le bassin houiller du Nord-Pas de Calais après 1720.
Jusqu’à ce que des recherches récentes mettent en évidence des faits nouveaux, on avait toujours cru que ce bâtiment en briques ressemblant à un donjon médiéval était un chevalement de mine utilisé pour l’extraction du charbon.
En réalité, ce remarquable monument construit en 1826 sur la commune de Fresnes-sur-Escaut, est une machine à feu destinée à l’assèchement, c’est-à-dire à l’évacuation de l’eau qui s’était infiltrée dans les galeries de la mine.
A ce titre, il est l’unique témoin dans la région de la lutte constante des mineurs contre l’envahissement de l’eau et de la technologie avancée de la Compagnie des Mines d’Anzin.
25. Cités Lorette et Chabaud Latour – CONDE SUR L’ESCAUT
Le lotissement Chabaud-Latour (1913) a été construit à proximité de l’ancienne fosse portant le même nom.
Celui de Lorette, dont la construction a débuté en 1914, est construit à proximité immédiate de la piscine de la Digue Noire.
Voisins l’un de l’autre, les deux lotissements, bordent l’ancienne fosse Ledoux et jouxtent les bâtiments du village agricole de Condé-Macou, transformé par leur présence.
Les lotissements présentent un tracé des rues strictement orthogonal.
Les îlots d’habitation, composés de deux logements à la fois, donnent sur la rue, leurs espaces privés étant délimités par des haies, offrant un agréable effet paysager d’ensemble.
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